« J’ai tellement de choses à faire dehors ! hurle-t-il, une réunion de travail, un diner d’affaire, une entrevue avec mes colistiers, un rendez-vous médical, une vidéo-conférence sur le climat, récupérer les enfants… »
Seulement… Le voilà, soudain, enfermé dans cet endroit. Confronté à des gens qui lui sont étrangers et diamétralement opposés. Que faire ? Rien. Comment ça, rien ?
« mais je dois répondre au téléphone, commenter sur les réseaux sociaux, traiter mes mails, me muscler à la salle de sport, terminer un projet professionnel, prendre l’avion dans la soirée, passer au pressing... » Bla, Blabla. Bla. Blablabla.
Fin de partie. Il ne lui reste qu’à attendre.
Ne rien faire d’autre que de lutter contre la peur, affronter ses angoisses d’être là, avec lui-même. Quelle est donc cette prison, ce lieu, où il est enfermé, prisonnier ? Ce lieu : son mental, ses principes. Lui qui a tant. Lui qui n’a rien. Quels essentiels lui manque-t-il ?
D’inspiration Pascalienne (« rien n’est si insupportable à l’homme que d’être dans un plein repos, sans passion, sans affaire, sans divertissement, sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide »), la nouvelle pièce de théâtre des Aradjis…
Conditions & tarifs
Prix : 10 € - 8€ - Article 27